Les Aventures d'Isidore et Autres Destins Fatals
Presse
et on a dit de lui !
"Cet homme est fou. Je veux dire le conteur. Celui qui veut faire une entrée dynamique mais ne sait pas laquelle. Nous, nous voulons faire un article dynamique, mais nous ne savons pas lequel. C’est les autres qui devaient s’y coller et c’est sur moi que ça retombe ! Ils ont tellement rigolé qu’ils en rigolent encore et sont incapables de taper sur les bonnes touches (celles de l’odi, pas celles de l’accordéon).
Petit col boutonné jusqu’au cou. Pantalon tergal plissé (ça gratte pas ?). Chaussures noires. Pas un grand blond, mais un grand chauve égaré dans le monde des histoires. Qu’il raconte bien, le bougre ! Il culmine à ... 165 m (un mètre de plus que le mont des Cats ! ) Au Nord, y’avait pas que les corons, y’avait aussi ce drôle de type qui collectionne tout ce qui lui tombe sur la tête (tuile, météorite, pot de peinture, sans oublier la bouteille de bière pour faire local...). Y’a même un garçon-hérisson qui a le blues. Nous pouvons en témoigner, nous l’avons vu, de nos yeux vu à cheval sur son coq, suivi de son troupeau de cochons.
Il était donc une fois, pas deux, pas trois, un conteur qui s’était fourré dans une histoire compliquée de compétition entre des destins fatals et des destins pas fatals (pourquoi on dit pas “fataux” ?). Comme il dit, « Fatalitas, felicitas, c’est peut-être juste une question de point de vue. Ce qui est certain, c’est que nous ne sommes pas comme Isidore : nous, nous étions hier soir là où il fallait être, au moment où il fallait y être... yes !!!"
Claudine
"Le journal du Festival de Vassivière" 2007